Qui n'a jamais traversé de crises, des doutes ou encore un mal-être profond ? Si comme moi, vous trouvez que les difficultés personnelles, le stress d'un quotidien pollué et l'actualité mondiale engloutissent votre quête de bonheur, vos coups de coeur beauté et, même, votre regard sur la vie, misez sur la Lavande fine, - Mère Teresa de toutes les plantes -, elle vous tiendra droit, solidaire et ouvert à la vie, après une journée de travail !
Parce que percevoir encore la poésie de la nature et de la vie, la tête dans les smartphones, entre deux constructions bétonnées, et l'IA à toutes les sauces, ce n'est pas donné à tous! Et puis, je me suis dit qu'ici, sur le blog, chacun trouverait son coin de paradis: des réflexions, des infos et des conseils pour battre la mesure de la "Renaissance". Place à un tour d'horizons !
Tout comme nous, victimes de mutations psychosociétales, les huiles essentielles sont en plein boom économique: elles remplacent des molécules de synthèse dans les produits de soins, proposent des molécules alternatives à la résistance aux antibiotiques et créent des synergies avec les antibiotiques conventionnels. Rien que ça?, me direz-vous. Non! Aujourd'hui, 60% d'agents anticancéreux proviennent de produits naturels. Ça force le respect, n'est-ce pas?
Mais les huiles essentielles frappent surtout fort en olfaction. Notre nez écrit un Whatsapp à notre système nerveux central, et la réponse de notre cerveau ne tarde pas. En 20 minutes, votre nouvel encodage énergétique est fait. Alors, vous doutez encore? Ah, respirer de la Lavande fine, et débrancher du monde! La clé d'ancrage à notre "Essence"? L'accueil d'une mère, à bras ouverts? Ou simplement, un instant de spiritualité qui vous connecte au rêve? C'est tout cela, la Lavande fine, et bien plus encore...
Source:
Fourmentin, Sophie, and Miriana Kfoury. “Les huiles essentielles : renaissance d’ingrédients naturels et durables Essential oils: the renaissance of natural and sustainable ingredients.” Technologie et innovation, vol. 24, no. 9, 2024, pp. 1–21.
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